Ce vendredi 24 mai, nous nous sommes rendus à Bruxelles au Musée de la Banque Nationale de Belgique. Cet immense immeuble à l’architecture imposante nous ferait presque passer pour des hobbits à la recherche de l’anneau. Nous nous sentons tellement petits face à ce prestige architectural classique. Au-delà de nos cours, de nos débats en classe et de notre actualité faite de crises, d’inflation et d’inégalités, nous voilà confrontés à la volonté historique des banques de montrer à tous solidité et puissance. Nous en discuterons sans doute lors de nos prochains cours. La visite est une réussite. Notre guide, Constance, historienne de formation, est une source d’informations incroyables. Au-delà des éléments techniques, nous abordons des aspects socio-politiques assez méconnus de notre Belgique. Nous parlons de “monnaies de nécessité”, émises localement par des communes et ayant servi de véritables roues de secours en période de crise où les moyens manquaient pour relancer les échanges et nous abordons beaucoup d’autres sujets avant de terminer par un véritable cours sur la reconnaissance de faux billets,… Nous décidons de terminer notre journée par une petite visite beaucoup plus ludique au “Musée de l’illusion” qui n’est séparé de la BNB que d’une centaine de mètres. En passant au travers des différentes attractions, nous ne pouvons nous empêcher de penser qu’il n’y a bien souvent qu’une petite différence de point de vue entre la réalité et l’illusion et que ces deux musées se répondent tellement bien qu’ils pourraient même à terme décider de fusionner

Mais ça c’est une autre histoire. »

𝐿𝑒𝑠 𝑒́𝑙𝑒̀𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 6𝑒̀𝑚𝑒 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑓.

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